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informelle avec un instructeur de vol après un « mois de pause. La formation est une habitu-
de, pas un événement.
– Vous avez quelquʼun qui ne vous ménage pas et qui vous montre vos lacunes à la manière dʼun mentor. Voilà pour la connaissance de soi. Les pilotes de compagnies aériennes lʼont sous la forme de leur programme dʼaction pour la sécurité de lʼaviation (ASAP), qui utilise la surveillance des données de vol pour iden- tifier les erreurs avant quʼelles ne deviennent des accidents.
rait être une évidence.
Apprendre tout au long
de la vie. Cela dev»
– Ils en font profiter la communauté aéronau- tique. Les pilotes professionnels se soucient de leur secteur et veulent le voir prospérer. Cʼest pourquoi ils montrent lʼexemple et aident la prochaine génération. En donnant par exemple un coup de main lors des jour- nées portes ouvertes des aérodromes, en proposant des vols dʼinitiation ou en parlant tout simplement à lʼenfant du voisin qui sou- haite devenir pilote.
– Last but not least: «Twelve hours from the bottle to the throttle». Le verre de vin pour ac- compagner la préparation du vol du lende- main matin est un «no go»!
Pourquoi un preflight check approfondi vaut toujours le coup: Une bergeronnette des ruisseaux sʼest installée confortablement. Photo: Natascha Wirth, LSPL